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Atelier Bourquin : introduction à l’huile de coude

par | 15 Nov 2020 | Tests de terrain

Depuis cet été, l’atelier de Léopold Bourquin, « un gros bébé » de mécanique ancienne, est bichonné par l’équipe du Musée régional du Val-de-Travers, avec le soutien de la Maison de l’Industrie de Noiraigue, en vue de son déplacement dans ce dernier écrin.


Qui était Léopold Bourquin et à quoi servait son atelier ? RTN s’est intéressée à notre chantier et nous avons pu profité d’un petit entretien :

Qui était Léopold Bourquin et à quoi servait son atelier ?

Bien que le déménagement d’un tel édifice d’arbres de transmission, de courroies et de poulies semble un gros morceau de travail, la coordination du chantier, l’inventaire exhaustif et la documentation de cet ensemble complexe représentent le plus gros du projet.

Un nombre d’heures conséquent est investi. L’aide de stagiaires, étudiants et bénévoles est vitale dans un projet aux ressources très serrées.

La semaine dernière, une première partie du démontage comprenant la dépose des arbres de transmission a été menée. A 3, deux vaillants étudiants en conservation-restauration et moi-même avons déboulonné les 20 arbres de l’atelier, en une grosse journée. Notre outillage : clés de toutes les tailles, escabeaux, sangles de levage et quelques tasses de café bien serré.

L'atelier après démontage des arbres de transmission, de nuit !

Avant et après démontage, le jour et la nuit…

Le principal risque du déménagement et du stockage d'un atelier de mécanique ancienne ? La perte d'informations.

Prochaine étape, le conditionnement de tous les éléments sur palette et dans des cadres de palette. Les hors format bénéficieront d’un transport individuel, calés grâce à des couvertures. Ainsi, un atelier de près de 100 m² se présente en kit !

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